Helendi

Buen día
Me gustaría compartir con ustedes un texto que escribí hace muchos años, siendo más literario que un diseñador, y ¿quién sabe, si puede inspirar algunos o otros?
Es un extracto de Crónicas de Heroic-Fantaisy cuyo título genérico es Helendi.

Nei tropei, hilos de viento


Al amanecer de la primera era fatal
Abierto por el aliento divino
Aïon ...

El canal solar, en su brillo irreal,
Recorrió las llanuras y las montañas, en el camino
Lo acompañó demasiado, caliente y primavera
Viento del Sur ...
Cabello desordenado debajo
Su corona dorada, la alizé para despertar
Las plantas y los animales extienden su dulce aliento ...
Notando un roble con ramas encaladas, muertas,
Cayó en palabras extrañas, entonces
El árbol corrió, sacudió su fuerte más suave,
Vida reanudada, cubierta de grandes hojas de oro.
La risa demasiado un himno cantó:
El follaje brillante del roble estremecimiento,
Reverberando la oda en miles de teñidos,
Se compone una melodía radiante.
De notas más hermosas que se llena el follaje,
Fue tomado nervioso y múltiples temblores.
Preocupado, el dios estaba en silencio, se acercó lentamente
Planta. En Ramage, bien protegido,
Frutas de cobre pesadas y brillantes tan rápido
Nacieron, maduraron ... y de repente se abrió
Liberar a los seres cristalinos, mientras sonríe,
Tez de oro, con largas alas transparentes,
Voltigando en una nube brillante.

Así de la canción de un dios resonante entre el
Nacieron ramas demacradas de un roble viejo
Los que los llamaron
"Hijo del viento",
Neï Tropei ...
Bonjour
Je voudrais vous partager un texte que j'ai écrit il y a pas mal d'années, étant plus littéraire que dessinateur, et qui sait, si ça peut en inspirer certains ou certaines ?
Il s'agit d'un extrait de chroniques d'héroic-fantaisy dont le titre générique est Hélendi.

Nei Tropei, les Fils du Vent


À l'aube du premier âge mortel
Ouvert par le souffle divin
D'Aïon…

Le char solaire, en son éclat irréel,
Parcourait les plaines et les monts, en chemin
L'accompagnait Tropè, le chaud et printanier
Vent du sud…
Chevelure désordonnée sous
Sa couronne d'or, l'alizé pour éveiller
Plantes et bêtes répandait son souffle doux…
Remarquant un chêne aux branches blanchies, mortes,
Il fredonna d'étranges paroles, alors
L'arbre s'ébroua, secoua sa ramure forte,
Reprit vie, se couvrit de larges feuilles d'or.
Le riant Tropè alors un hymne chanta :
Le rutilant feuillage du chêne frémit,
Réverbérant l'ode en milliers de tintements,
Une radieuse mélodie se composa.
De notes plus belles le feuillage s'emplit,
Fut prit de nerveux et multiples tremblements.
Inquiet, le dieu se tut, lentement s'approcha
Du végétal. Dans le ramage, bien à l'abri,
De lourds et brillants fruits cuivrés si prestement
Étaient nés, mûrissaient…Et d'un coup tous s'ouvrirent
Libérant de cristallins êtres, tout en sourire,
Au teint d'or, aux longues ailes transparentes,
Voltigeant en une nuée étincelante.

Ainsi du chant d'un dieu résonnant entre les
Branches décharnées d'un vieux chêne, naquirent
Ceux que l'on nomme les
«Fils du Vent», les
Neï Tropei…



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